médaille du lieutenant gouverneur du Québec
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Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
il est ecris ( excellence C.S.M rhétorique -41 Jean Racette
Re: medaille du lieutenant gouverneur
maximebelair76 a écrit :en voici une autre.
une très belle médaille que tu nous montre
j ai cette médaille aussi comme la tienne non décernée qui na pas le nom du récipiendaire inscrit
la mienne est dans un écrin de cuirette qui me semble original .
me Delage est nomme surintendant des écoles publiques en 1916 donc cette médaille date de cette époques

une photo de
m Delage en 1912

sont histoire il n a jamais été lieutenant gouverneur mes
Cyrille-Fraser Delage (1 Mai, 1869 - Novembre 27, 1957) fut une figure de notaire et politique au Québec. Il a représenté le comté de Québec à l'Assemblée législative du Québec de 1901 à 1916 comme député libéral. Delâge a été le Président de l'Assemblée législative de 1912 à 1916.
Il est né à Notre-Dame de Québec, fils de Jean Baptiste Delâge et Marie Emma-Elmire Fraser. Delâge a fait ses études au séminaire de Québec et l'Université Laval, qualifiés à titre de notaire en 1892 et est entré pratique avec son père. En 1894, il épouse Marie-Célina-Alice Brousseau. De 1936 à 1939, il a été président de la Chambre des notaires.
Delâge a d'abord été élu à l'Assemblée nationale du Québec en 1901 par une élection partielle tenue après Némèse Garneau a été nommé au Conseil législatif. Il a démissionné de son siège à l'Assemblée provinciale après avoir été nommé surintendant des écoles publiques pour le Québec.
Il a été président de la Saint-Jean-Baptiste de Québec en 1909 et 1910. Delâge a aussi été président de La Société du Parler Français de 1922 à 1924 et a été président de la Société de géographie du Québec de 1925 à 1940. Il a été nommé Chevalier de la Légion d'honneur française et d'un compagnon de l'Ordre de Saint-Michel et Saint-Georges en 1935. Delâge décède à Québec à l'âge de 88 ans.
Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
maximebelair76 a écrit :il est ecris ( excellence C.S.M rhétorique -41 Jean Racette
un m jean racette un aviateur dans les anne 40 est revenue un heros de guerre peut etre est celui qui a recu ta medaille
sur le lien qui sui tu peut entendre une entrevu qui en parle
http://archives.radio-canada.ca/guerres ... 2/&ref=spe
Dernière édition par andrelus le Jeu Mars 18, 2010 9:46 pm, édité 1 fois.
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Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
super merci!!! tres belle info 

Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
maximebelair76 a écrit :super merci!!! tres belle info
j’ai trouver aussi le Père RACETTE, , Jean, s.j.
lui ou l aviateur les deux ont marque notre histoire je crois q avec un peu d histoire ta médaille a pris beaucoup de valeur
philosophe des année 1940 a 50 environ un bout de texte
d un livre publier en 1972 par Yvan LAMONDE parle de se pretre
Yvan LAMONDE
Historiographie de
la philosophie au Québec
(1853-1970)
historien des idées au Québec et spécialiste de l'essai
Chaire James McGill d'histoire littéraire et culturelle comparée du Québec
Professeur titulaire, Département de langue et littérature française, Université McGill.
(1972)
Cette dualité culturelle trouva son expression dans l'historiographie et la pro-blématique philosophiques des années 1950-1970. Jean Racette, le premier à dres-ser un bref historique de la situation philosophique contemporaine au Canada pour des lecteurs européens , ne manqua pas de souligner cette « dualité fonda-mentale » d'un pays jeune. L'énumération des travaux philosophiques publiés par des Canadiens d'expression anglaise et française (Universités Laval, de Montréal et d'Ottawa) justifiait pour le P. Racette un optimisme certain. De leur côté, les lecteurs étrangers de langue anglaise purent aussi apprécier l'activité philosophique canadienne-française grâce à l'article du P. Edmond Gaudron qui insistait beaucoup sur l'orthodoxie et l'aspect doctrinal d'une pensée « of a very particular type » largement identifiable à la culture canadienne-française. Le P. Gaudron précisait la signification culturelle de cet « universalisme » du thomisme :
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Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
des pieces comme celle-ci peuve valoir koi???
Merci!!! encor
Merci!!! encor

Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
maximebelair76 a écrit :des pieces comme celle-ci peuve valoir koi???
Merci!!! encor
la médaille de fiset n est pas une des plus rechercher celle de bronze que j ai environ 30$ a 40 $ elle date de 1940 seulement apres les anne 1930 ses medaille ont ete decerne en plus grand nombre
celle que tu a en argent avec les écrit de jean racette si tu peut prouver et chercher un peut plus si ses l aviateur un peut + que pour le philosophe car elle devient aussi un objet militaire se qui est tres rechercher par les collectionneur de guerre et pourrai atteindre 200$
pour le philosophe ou pas d histoire j irai jusqu’a payer 60 $ 70 $ environ
a l encan peut être une valeur 80$ a 100$
si tu désire la vendre mp pour moi
si tu peut la peser sont poids en argent devrait être un bon investissement 40$ a 50$ en argent je crois
pour la médaille de Delage j ai acheter la mienne en 2007 et j ai payer 25,00$
un deal
elle était estimer entre 50$ et 75 $ dans un encan de 2006
j ai pas pus savoir le prix quel ses vendues
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Re: médaille du lieutenant gouverneur du Québec
merci!!! beaucoup ca donne une bonne piste. 

une des plus rare lomer gouin 1929
voici la médaille du lieutenant gouverneur qui est rester en fonction que tres peut de temps car 2 mois après être nommée il est malheureusement décède
donc je ne crois pas qu’il est pus décerne plusieurs médaille


Lomer Gouin[1] (né le 19 mars 1861 à Grondines (Québec) et mort le 28 mars 1929 à Québec) est un homme politique québécois. Il fut Premier ministre du Québec de 1905 à 1920.
voici une photo de lui qui date de 1910 alors qu’il était premier ministre du Québec

Le 24 mai 1888, il épouse Éliza Mercier, fille d'Honoré Mercier[2]. Il épousera en secondes noces Alice Amos.
Élu pour la première fois à l'Assemblée législative du Québec lors de l'élection générale québécoise de 1897, Lomer Gouin est nommé en 1900 ministre des Travaux publics dans le gouvernement de Simon-Napoléon Parent. En 1905, il participe au coup de force qui évince Parent du pouvoir et est choisi pour lui succéder. Il a été premier ministre du Québec sous la bannière du Parti libéral du Québec de 1905 à 1920, remportant à quatre reprises les élections générales. Premier ministre pendant plus de 15 ans, il est l'un de ceux à avoir occupé ce poste le plus longtemps dans l'histoire du Québec. En 1920, il est nommé au Conseil législatif du Québec, mais démissionne en 1921 sans jamais avoir occupé son siège et se lance en politique fédérale.
Lors de l'élection fédérale de 1921, il est élu député du parti libéral à la Chambre des communes du Canada et obtient le poste de ministre de la Justice dans le gouvernement du premier ministre William Lyon Mackenzie King jusqu'en 1924.
Lomer Gouin, portant l'habit de cérémonie de lieutenant-gouverneur, 1929

En 1929, il est nommé lieutenant-gouverneur du Québec, mais il n'occupe ce poste que deux mois avant de mourir en fonction à Québec.
Lomer Gouin est enterré au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal.
donc je ne crois pas qu’il est pus décerne plusieurs médaille


Lomer Gouin[1] (né le 19 mars 1861 à Grondines (Québec) et mort le 28 mars 1929 à Québec) est un homme politique québécois. Il fut Premier ministre du Québec de 1905 à 1920.
voici une photo de lui qui date de 1910 alors qu’il était premier ministre du Québec

Le 24 mai 1888, il épouse Éliza Mercier, fille d'Honoré Mercier[2]. Il épousera en secondes noces Alice Amos.
Élu pour la première fois à l'Assemblée législative du Québec lors de l'élection générale québécoise de 1897, Lomer Gouin est nommé en 1900 ministre des Travaux publics dans le gouvernement de Simon-Napoléon Parent. En 1905, il participe au coup de force qui évince Parent du pouvoir et est choisi pour lui succéder. Il a été premier ministre du Québec sous la bannière du Parti libéral du Québec de 1905 à 1920, remportant à quatre reprises les élections générales. Premier ministre pendant plus de 15 ans, il est l'un de ceux à avoir occupé ce poste le plus longtemps dans l'histoire du Québec. En 1920, il est nommé au Conseil législatif du Québec, mais démissionne en 1921 sans jamais avoir occupé son siège et se lance en politique fédérale.
Lors de l'élection fédérale de 1921, il est élu député du parti libéral à la Chambre des communes du Canada et obtient le poste de ministre de la Justice dans le gouvernement du premier ministre William Lyon Mackenzie King jusqu'en 1924.
Lomer Gouin, portant l'habit de cérémonie de lieutenant-gouverneur, 1929

En 1929, il est nommé lieutenant-gouverneur du Québec, mais il n'occupe ce poste que deux mois avant de mourir en fonction à Québec.
Lomer Gouin est enterré au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal.
CARROLL, Henry George le succeseur de gouin
voici les deux médailles argent et bronze de Henry George Carroll
Lieutenant-gouverneur de la province de Québec
de 1929 a 1934
premières photo
celle en argent estimer entre 80$ et 125 $


celle de bronze moins rare estimer entre 25 et 35 $


Henry George Carroll
(1865-1939)

Né à Kamouraska, le 31 janvier 1865, fils de Michael Burke Carroll, postillon et secrétaire, et de Marguerite Campbell.
Fit ses études au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière de 1879 à 1885. Étudia en droit à l'Université Laval de 1885 à 1889. Admis au Barreau de la province de Québec le 5 juillet 1889.
Exerça sa profession à Fraserville (aujourd'hui Rivière-du-Loup) avec Edgard-Horace Cimon, où il fut représentant du Procureur général. Créé conseil en loi de la reine le 9 juin 1899.
Élu député libéral à la Chambre des communes dans Kamouraska en 1891. Réélu en 1896 et en 1900, puis sans opposition à l'élection partielle du 28 février 1902 tenue suite à sa nomination comme ministre. Solliciteur général dans le cabinet Laurier du 10 février 1902 au 28 janvier 1904.
Juge à la Cour supérieure de Québec pour le district de Gaspé du 24 janvier 1904 à 1907, puis pour le district de Rimouski en 1907 et en 1908. Nommé juge suppléant à la Cour du banc du roi le 27 novembre 1908. En l'absence du juge Jean Blanchet, fut commissaire ex officio pour la révision et la consolidation des statuts publics du Canada. Président de la Commission royale chargée des enquêtes sur le commerce des alcools dans la province en 1912. Vice-président de la Commission des liqueurs de la province de Québec de 1921 à 1929.
Lieutenant-gouverneur de la province de Québec du 4 avril 1929 au 3 mai 1934.
Membre du Conseil de l'instruction publique en 1906. Vice-président de la Caisse d'économie de Notre-Dame-de-Québec.
Décédé à Québec, le 20 août 1939, à l'âge de 74 ans et 6 mois. Inhumé dans le cimetière de Kamouraska le 23 août 1939.
Avait épousé à Sainte-Agathe (Lotbinière), le 1er juin 1891, Amazélie Boulanger, fille de Lazare Boulanger, marchand, et d'Anastasie Côté.
Lieutenant-gouverneur de la province de Québec
de 1929 a 1934
premières photo
celle en argent estimer entre 80$ et 125 $


celle de bronze moins rare estimer entre 25 et 35 $


Henry George Carroll
(1865-1939)

Né à Kamouraska, le 31 janvier 1865, fils de Michael Burke Carroll, postillon et secrétaire, et de Marguerite Campbell.
Fit ses études au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière de 1879 à 1885. Étudia en droit à l'Université Laval de 1885 à 1889. Admis au Barreau de la province de Québec le 5 juillet 1889.
Exerça sa profession à Fraserville (aujourd'hui Rivière-du-Loup) avec Edgard-Horace Cimon, où il fut représentant du Procureur général. Créé conseil en loi de la reine le 9 juin 1899.
Élu député libéral à la Chambre des communes dans Kamouraska en 1891. Réélu en 1896 et en 1900, puis sans opposition à l'élection partielle du 28 février 1902 tenue suite à sa nomination comme ministre. Solliciteur général dans le cabinet Laurier du 10 février 1902 au 28 janvier 1904.
Juge à la Cour supérieure de Québec pour le district de Gaspé du 24 janvier 1904 à 1907, puis pour le district de Rimouski en 1907 et en 1908. Nommé juge suppléant à la Cour du banc du roi le 27 novembre 1908. En l'absence du juge Jean Blanchet, fut commissaire ex officio pour la révision et la consolidation des statuts publics du Canada. Président de la Commission royale chargée des enquêtes sur le commerce des alcools dans la province en 1912. Vice-président de la Commission des liqueurs de la province de Québec de 1921 à 1929.
Lieutenant-gouverneur de la province de Québec du 4 avril 1929 au 3 mai 1934.
Membre du Conseil de l'instruction publique en 1906. Vice-président de la Caisse d'économie de Notre-Dame-de-Québec.
Décédé à Québec, le 20 août 1939, à l'âge de 74 ans et 6 mois. Inhumé dans le cimetière de Kamouraska le 23 août 1939.
Avait épousé à Sainte-Agathe (Lotbinière), le 1er juin 1891, Amazélie Boulanger, fille de Lazare Boulanger, marchand, et d'Anastasie Côté.
1934 Ésioff-Léon Patenaude
une autre medaill de bronze de Ésioff-Léon Patenaude lieutenant gouverneur de 1934 a 1939


Ésioff-Léon Patenaude
(1875-1963)

Il étudia au collège de Montréal et à l'Université Laval à Montréal. Ayant complété ses études en droit, il fut admis au barreau de la province de Québec en septembre 1899.
Il fit de la politique et se lia avec maîtres Auguste Boyer, Gustave Monette et Siméon Beaudin. En 1908 et 1912, il est élu député du Parti conservateur du Québec dans La Prairie.
En 1915, il passe à la Chambre des communes du Canada, devenant le député fédéral d'Hochelaga. Robert Borden le nomme ministre du Revenu, poste qu'il occupe jusqu'en 1917, lorsqu'il est sert brièvement à titre de ministre des Mines pendant six mois.
En 1923, il est élu dans Jacques-Cartier à l'Assemblée législative de la province de Québec, mais il démissionne deux ans plus tard en 1925. Défait dans la circonscription fédérale de Jacques-Cartier en 1925 et 1926, le premier ministre Arthur Meighen le nomme tout de même ministre de la Justice.
En 1934, il est nommé lieutenant-gouverneur du Québec, fonction qu'il occupe jusqu'en 1939. Toujours en 1934, il reçoit un doctorat honorifique en droit de l'Université Laval, un mérite que l'Université Bishop's, l'Université McGill et l'Université de Montréal sauront aussi lui accorder.
Après qu'il eut cessé ses activités politiques, il se tourna vers les affaires, devenant président de la Banque provinciale du Canada en 1946. Il fut par ailleurs à la tête de plusieurs sociétés, dont McColl Frontenac, Texaco Canada, L'Alliance, Crown Life Insurance, la Compagnie canadienne mercantile et du Crédit foncier franco-canadien. En outre, il présida le club Rideau, à Ottawa.
Le 7 février 1963, il meurt à Montréal. Il est enterré au cimetière Notre-Dame-des-Neiges.


Ésioff-Léon Patenaude
(1875-1963)

Il étudia au collège de Montréal et à l'Université Laval à Montréal. Ayant complété ses études en droit, il fut admis au barreau de la province de Québec en septembre 1899.
Il fit de la politique et se lia avec maîtres Auguste Boyer, Gustave Monette et Siméon Beaudin. En 1908 et 1912, il est élu député du Parti conservateur du Québec dans La Prairie.
En 1915, il passe à la Chambre des communes du Canada, devenant le député fédéral d'Hochelaga. Robert Borden le nomme ministre du Revenu, poste qu'il occupe jusqu'en 1917, lorsqu'il est sert brièvement à titre de ministre des Mines pendant six mois.
En 1923, il est élu dans Jacques-Cartier à l'Assemblée législative de la province de Québec, mais il démissionne deux ans plus tard en 1925. Défait dans la circonscription fédérale de Jacques-Cartier en 1925 et 1926, le premier ministre Arthur Meighen le nomme tout de même ministre de la Justice.
En 1934, il est nommé lieutenant-gouverneur du Québec, fonction qu'il occupe jusqu'en 1939. Toujours en 1934, il reçoit un doctorat honorifique en droit de l'Université Laval, un mérite que l'Université Bishop's, l'Université McGill et l'Université de Montréal sauront aussi lui accorder.
Après qu'il eut cessé ses activités politiques, il se tourna vers les affaires, devenant président de la Banque provinciale du Canada en 1946. Il fut par ailleurs à la tête de plusieurs sociétés, dont McColl Frontenac, Texaco Canada, L'Alliance, Crown Life Insurance, la Compagnie canadienne mercantile et du Crédit foncier franco-canadien. En outre, il présida le club Rideau, à Ottawa.
Le 7 février 1963, il meurt à Montréal. Il est enterré au cimetière Notre-Dame-des-Neiges.
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