Pour revenir au propos de Philippe Gaudreault, je suis d accord sur le principe que sur la base numismatique, une piece trouée ou mutilée d une quelconque façon n a plus la même valeur monétaire mais n en perd pas néanmoins tout intérêt.
Ce peut être symbolique, historique, circonstanciel mais pas nécessairement banal et voué a être rejeté.
Surtout pour une piece de 156 ans qui n est émise qu a 400 000 exemplaires pour la circulation , ce qui signifie qu il, doit en rester moins que 1%,
Autre exemple: j ai déniché une piece d un âge presque similaire mais de dénomination differente(50 cents). Comme je sus en train de faire une série sur la dégradation du coin revers, le fait que la piece ait un minuscule carré sur la champ de la piece, témoignant d un travail minutieux au canif , n a pas refroidi mes ardeurs pour vouloir l acquérir, car cette piece possédait de beaux signes d une variété que je recherche pour finir ma série de cette annne particulière . Les pieces victoriennes enVF sont peu fréquentes et. Lorsque j en vois une dotée d un petit défaut, je ne la regarde pas comme telle mais comme une perle dont on se détourne a cause de ce petit carré sur le champ de la piece.
Alors pour moi, c est un 80$ bien investi car elle vient compléter la piece d un casse tête.. C est donc une question de perception et de perspectives.
Au même titre que le nettoyage, qui, pour certaines pieces, est presque inévitable si on veut les acquérir..
Un large cent 1919 vigoureusement nettoyé est poche... Mais un 50 cents plus que centenaire en MS , même s il est nettoyé, reste une piece d exception car si peu disponible .
Si ça le rend plus accessible$$ sans le rendre laid, pourquoi pas
