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Voici une étrange pièce de 25 cents, datée 1996 (trouvée il y a plusieurs années dans mon change)

Le design est assez médiocrement rendu, peu de détails visibles, Son aspect donne l'impression qu'elle est rouillée avec un placage qui se décolle...


L'avers n'est pas mieux:


Elle est magnétique, et pèse 5,00 grammes. Son diamètre est de 23,85 mm avec une épaisseur de 1,65 mm. Un 25¢ en acier (2001 et +) pèse 4,48 grammes (moyenne de 5 pièces) alors que les pièces en nickel pèsent 5,12 grammes...mais ce qui est le plus troublant, c'est que j'ai fait des tests (ceux qui ont vu mon exposé à Trois-Rivières avent de quoi je parle) afin de savoir si la pièce est en acier ou en nickel. Verdict: Elle est en acier! Mais elle date de 1996, il ne peut donc s'agir d'une erreur de métal (à moins que ce soit un flan pour une monnaie étrangère),.

Bonsoir, je m'y connais absolument pas en métal et en fausse pièces même si j'en possèce quelque dizaines de fausse de tout genre. Je croit plus à comme que tu dit à un flan inconnu. Ma question aussi que je me pose, ca vaut-il la peine pour des faussaires de faire de faux 25 cents 96?

L'usine de Winnipeg a commencé à produire en 2001, des pièces plaquées. Avant 2001 je ne penses pas que que l'usine d'Ottawa n'ait eu la technologie pour produire des pièces d'acier plaquées nickel.

Décret en 2000 autorisant la production de pièces plaquées.
Le décret autorise l'émission de monnaie de circulation des valeurs faciales de cinquante cents, vingt-cinq cents, dix cents et cinq cents et précise les caractéristiques.

Présentement, les pièces de circulation de cinquante, vingt-cinq et dix cents sont composées de nickel pur, tandis que la pièce de cinq cents est en cupro-nickel. L'utilisation de l'acier plaqué nickel, cuivre et nickel comme composition métallique des pièces de circulation de cinquante cents, vingt-cinq cents, dix cents et cinq cents réduit le coût de fabrication des pièces de circulation et permet au Gouvernement d'économiser annuellement une somme estimative de 9,5 millions de dollars (en se basant sur les coûtsde 1997 et un volume annuel d'environ 310 millions de pièces).

Solutions envisagées

Le nickel pur et le cupro-nickel continueront d'être utilisées durant la période de transition jusqu'à ce que l'usine de placage de la Monnaie royale canadienne à Winnipeg soit complètement opérationnel en l'an 2000.