La monnaie c’est aussi l’histoire.
La monnaie c’est aussi l’histoire.
La monnaie c’est aussi l’histoire.
Ici nous apprendrons une partie de l’histoire d’un pays et ce pays c’est Cuba.
Cet automne l’or d’une trop courte visite a des amies ( La Loutre) et sa conjointe, J’étais très heureux de leur présenter ma collection de billets cubains. Une collection de 35 billets in circulés des années 1960 à 1990 acguérie dans 9 pays différents grâce à eBay.
J’étais content de lui présenté et triste à la fois, parce qu’une collection une fois assemblée et bien on la range……. on attend……. elle ne vit plus.
C'est alors que la Loutre m’a suggéré de la faire vivre en la présentant sur Numicanada.
C’est ce que je ferai pour les prochaines semaines je vais vous présenter les différents billets de 1961 pour les coupures suivantes : 1, 5, 10 20 50 100 pesos
Pourquoi 1961 ?
Tout d’abord parce que c’est la nouvelle émission après la révolution.
Ensuite et bien la personnalité et la notoriété du président de la Banque centrale de Cuba.
Voir signature à gauche sur les billets.
Anecdote cubaine. L’histoire populaire de l’époque racontait : « Y a-t-il un économiste ici? » interroge Fidel. Le Che lève la main. Il est banquier. (Lui a qui l’argent inspire un souverain mépris). Il avait entendu « Y a –t-il un communiste ici.
Nous allons donc débuter avec le premier soit le 1 pesos.
* Noter que les articles qui sont joints, ont été emprunté à divers endroits sur le web.
JOSE MARTI
JOSE MARTI (1853 - 1895)
José Martí est certainement l'homme le plus glorifié par le peuple cubain,qui le considère comme le plus grand martyr et l'apôtre de la lutte pour l’indépendance.
José Martí est né à la Havane le 20 janvier 1853. Rapidement il s'engagea dans la lutte anticoloniale, à quinze ans, déjà, il fondait un journal nationaliste, à 16 ans il était arrêté pour trahison et condamné à six ans de travaux forcés.
Libéré six mois plus tard et assigné à résidence, il fut déporté en Espagne durant quatre années.
Son exil se poursuivit en France, en Angleterre et au Mexique.
Une amnistie des prisonniers politiques lui permet de revenir à Cuba, où il fut de nouveau arrêté et de nouveau renvoyé en Espagne.
Il s'installa à New York, où vivaient de nombreux exilés cubains, et durant les quinze années qui suivirent il se consacra sans relâche à l'activité politique au sein du parti révolutionnaire cubain.
Son objectif était d'obtenir l'indépendance de Cuba en s'appuyant sur le peuple et les masses opprimées, d'obtenir l'égalité raciale, égalité économique et l'égalité des sexes.
Il débarqua sur l'île en 1895, et fut tué lors de sa première bataille contre les Espagnols, le 19 mai 1995
8 janvier 1959
8 janvier 1959 - Castro et ses compagnons prenaient le pouvoir à Cuba
Le 8 janvier 1959, Fidel Castro et ses compagnons entraient triomphalement à La Havane. Le régime corrompu de Batista, qui faisait régner la terreur depuis des années sur l'île, s'était effondré une semaine plus tôt. À l'annonce de la fuite du dictateur, la foule déferlait dans les rues des villes. L'espoir immense d'en finir avec les années d'oppression et de misère soulevait les masses populaires et les ralliait aux barbudos de Fidel.
Question de la semaine.
Qui de vous peut me nommé deux personnes qui apparaisse a l’endos de ce billet?.
Avez vous des commentaire? Des question?
Le chat
Ici nous apprendrons une partie de l’histoire d’un pays et ce pays c’est Cuba.
Cet automne l’or d’une trop courte visite a des amies ( La Loutre) et sa conjointe, J’étais très heureux de leur présenter ma collection de billets cubains. Une collection de 35 billets in circulés des années 1960 à 1990 acguérie dans 9 pays différents grâce à eBay.
J’étais content de lui présenté et triste à la fois, parce qu’une collection une fois assemblée et bien on la range……. on attend……. elle ne vit plus.
C'est alors que la Loutre m’a suggéré de la faire vivre en la présentant sur Numicanada.
C’est ce que je ferai pour les prochaines semaines je vais vous présenter les différents billets de 1961 pour les coupures suivantes : 1, 5, 10 20 50 100 pesos
Pourquoi 1961 ?
Tout d’abord parce que c’est la nouvelle émission après la révolution.
Ensuite et bien la personnalité et la notoriété du président de la Banque centrale de Cuba.
Voir signature à gauche sur les billets.
Anecdote cubaine. L’histoire populaire de l’époque racontait : « Y a-t-il un économiste ici? » interroge Fidel. Le Che lève la main. Il est banquier. (Lui a qui l’argent inspire un souverain mépris). Il avait entendu « Y a –t-il un communiste ici.
Nous allons donc débuter avec le premier soit le 1 pesos.
* Noter que les articles qui sont joints, ont été emprunté à divers endroits sur le web.
JOSE MARTI
JOSE MARTI (1853 - 1895)
José Martí est certainement l'homme le plus glorifié par le peuple cubain,qui le considère comme le plus grand martyr et l'apôtre de la lutte pour l’indépendance.
José Martí est né à la Havane le 20 janvier 1853. Rapidement il s'engagea dans la lutte anticoloniale, à quinze ans, déjà, il fondait un journal nationaliste, à 16 ans il était arrêté pour trahison et condamné à six ans de travaux forcés.
Libéré six mois plus tard et assigné à résidence, il fut déporté en Espagne durant quatre années.
Son exil se poursuivit en France, en Angleterre et au Mexique.
Une amnistie des prisonniers politiques lui permet de revenir à Cuba, où il fut de nouveau arrêté et de nouveau renvoyé en Espagne.
Il s'installa à New York, où vivaient de nombreux exilés cubains, et durant les quinze années qui suivirent il se consacra sans relâche à l'activité politique au sein du parti révolutionnaire cubain.
Son objectif était d'obtenir l'indépendance de Cuba en s'appuyant sur le peuple et les masses opprimées, d'obtenir l'égalité raciale, égalité économique et l'égalité des sexes.
Il débarqua sur l'île en 1895, et fut tué lors de sa première bataille contre les Espagnols, le 19 mai 1995
8 janvier 1959
8 janvier 1959 - Castro et ses compagnons prenaient le pouvoir à Cuba
Le 8 janvier 1959, Fidel Castro et ses compagnons entraient triomphalement à La Havane. Le régime corrompu de Batista, qui faisait régner la terreur depuis des années sur l'île, s'était effondré une semaine plus tôt. À l'annonce de la fuite du dictateur, la foule déferlait dans les rues des villes. L'espoir immense d'en finir avec les années d'oppression et de misère soulevait les masses populaires et les ralliait aux barbudos de Fidel.
Question de la semaine.
Qui de vous peut me nommé deux personnes qui apparaisse a l’endos de ce billet?.
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Le chat
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Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Moi aussi j'aime bien les billets cubain et j'ai eu la chance d'en ramener plusieurs UNC il y a quelques années.
J'aimerais bien trouver le 500 et le 1000 pesos 1950. À cette époque un peso valait 1 dollar US, donc ces billets étaient une véritable fortune. Après la révolution la valeur du peso cubain s'est effondrée évidemment.
Pour répondre à ta question je peux seulement nommer trois personnages:
Fidel Castro
Che Guevara
Camillo Cenfuegos
J'ai connu le 3e lorsque j'ai acheté un 10 pesos proof en argent 1999 ( 1 once .999 ) en voyage. Cette pièce commémore le 40e anniversaire de la révolution et on peux voir le portrait de ces trois personnages.
J'aimerais bien trouver le 500 et le 1000 pesos 1950. À cette époque un peso valait 1 dollar US, donc ces billets étaient une véritable fortune. Après la révolution la valeur du peso cubain s'est effondrée évidemment.
Pour répondre à ta question je peux seulement nommer trois personnages:
Fidel Castro
Che Guevara
Camillo Cenfuegos
J'ai connu le 3e lorsque j'ai acheté un 10 pesos proof en argent 1999 ( 1 once .999 ) en voyage. Cette pièce commémore le 40e anniversaire de la révolution et on peux voir le portrait de ces trois personnages.
Philippe
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Bonjour Le Chat,
Merci " d'oser " entreprendre ce projet, sur Numicanada, et surtout de nous faire profiter de tes connaissances
En effet, la monnaie c'est aussi l'histoire, et c'est un plus que tu nous le rappelles, car dans le brouhaha quotidien et répétitif des sujets qui déferlent sur le site, le lien que tu fais entre la monnaie et l'histoire nous ramène au coeur de la Numismatique.
Je me doute que ce sujet, portant sur le papier monnaie de Cuba, ne gagnera sans doute pas un concours de popularité, mais, tout en nous éclairant sur une page d'histoire qui a marqué une époque, je souhaites ardemment que tu le mènes à bonne fin
Qui sait, tes travaux inciteront peut-être quelques membres à suivre ton exemples
Merci " d'oser " entreprendre ce projet, sur Numicanada, et surtout de nous faire profiter de tes connaissances
En effet, la monnaie c'est aussi l'histoire, et c'est un plus que tu nous le rappelles, car dans le brouhaha quotidien et répétitif des sujets qui déferlent sur le site, le lien que tu fais entre la monnaie et l'histoire nous ramène au coeur de la Numismatique.
Je me doute que ce sujet, portant sur le papier monnaie de Cuba, ne gagnera sans doute pas un concours de popularité, mais, tout en nous éclairant sur une page d'histoire qui a marqué une époque, je souhaites ardemment que tu le mènes à bonne fin
Qui sait, tes travaux inciteront peut-être quelques membres à suivre ton exemples
- clownoses
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Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Effectivement, Le Chat, tu as soulevé un très bon point. La Monnaie c'est l'histoire d'un peuple, d'un pays. On apprends beaucoup en collectionnant la monnaie.
J'ai entrepris de collectionner les 5 pfennigs de la période de 1914 à 1918 et les 5 reichspfennigs de la période de 1939 à 1944 (Ils n'ont pas fabriqué en 1945) de l'Allemagne. Ils complètent très bien ma collection de 5 cents Canadien, car le 5 cents canadien est relié aux grandes guerres à cause de son alliage. Pour moi, il donne un plus à ma collection, parce que le Canada a joué un rôle important aux deux grandes guerres, un contre la Prusse (Guillaume II) et deux contre l'Allemagne Nazis (Hitler).
C'est plaisant de s'instruire en collectionnant. Lorsque j'ai voulu représenter le revers de mes pièces par des timbres de la Monarchie Britannique (Reine et Roi seulement), je n'aurais pensé que les timbres avait une certaine histoire. Les timbres me donnent de la couleur, de la vivacité à ma collection. Ils se jumellent très bien, comme les pièces de l'Allemagne.
Chacun s'instruit à sa manière.
Moi aussi je me joint à ce forum sur l'histoire. Bravo, Le Chat, pour cette initiative nouvelle.
P.S. C'est intéressant de savoir que Castro était sur ce billet. Je ne savais pas ça.
J'ai entrepris de collectionner les 5 pfennigs de la période de 1914 à 1918 et les 5 reichspfennigs de la période de 1939 à 1944 (Ils n'ont pas fabriqué en 1945) de l'Allemagne. Ils complètent très bien ma collection de 5 cents Canadien, car le 5 cents canadien est relié aux grandes guerres à cause de son alliage. Pour moi, il donne un plus à ma collection, parce que le Canada a joué un rôle important aux deux grandes guerres, un contre la Prusse (Guillaume II) et deux contre l'Allemagne Nazis (Hitler).
C'est plaisant de s'instruire en collectionnant. Lorsque j'ai voulu représenter le revers de mes pièces par des timbres de la Monarchie Britannique (Reine et Roi seulement), je n'aurais pensé que les timbres avait une certaine histoire. Les timbres me donnent de la couleur, de la vivacité à ma collection. Ils se jumellent très bien, comme les pièces de l'Allemagne.
Chacun s'instruit à sa manière.
Moi aussi je me joint à ce forum sur l'histoire. Bravo, Le Chat, pour cette initiative nouvelle.
P.S. C'est intéressant de savoir que Castro était sur ce billet. Je ne savais pas ça.
Collectionneurs du 5 cents Canadiens depuis 1975.
Collectionneurs de timbres sur la Monarchie Britannique depuis peu. (Roi et Reine seulement)
Collectionneurs de timbres sur la Monarchie Britannique depuis peu. (Roi et Reine seulement)
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Belle initiative de partage de connaissances
Et magnifiques billets !
Milena
Et magnifiques billets !
Milena
- clownoses
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- Inscription : Mar Mars 25, 2008 5:16 am
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Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Avec des photos et une représentation, cela va vous permettre de mieux comprendre ce que c'est de l'histoire en collectionnant :
Ici, je vous présente l'année 1939, soit le début de la guerre 39-45. Le Roi était venu en visite au Canada avec sa famille et ils avaient parcouru le Canada en train. C'était un peu de la propagante, mais le fait était là, les Britannique voulaient convaincre les Canadiens récalcitrant à cette guerre.
Lorsque tu présentes cela à des enfants, je vous certifie qu'ils ont les yeux tout ronds et leur cerveau bouillonne de questions.
Pour moi, c'est ça de l'histoire en collectionnant.
Et si je r'ajoute les timbres du Roi en 1942, cela vous donne ça :
Mes pièces de monnaies ressortent en couleur avec les timbres, et l'ajout du 5 reichspfennigs, et du timbre d'Adolf Hitler, fait en sorte que cette année-là vous donne une bonne idée ce qu'était le Canada en 1939.
Pour moi, c'est ça une collection. Dans mon dossier word, tout est expliqué pour chacune des années du 5 cents, et en jumelant des compléments, vous donnez du prestige à votre collection.
Je vois très bien un collectionneur de monnaie américaine compléter sa collection avec le billet du Chat si haut, car l'histoire du Cuba est aussi relié avec les États-Unis.
Oui, collectionner c'est intéressant, instructif et vraiment passionnant. Il suffit juste de penser pour donner de la vie à votre collection. J'aurais pu ajouter mes 8 variétés du 1939 sur cette photo, ce qui aurait complété mon année.
Ici, je vous présente l'année 1939, soit le début de la guerre 39-45. Le Roi était venu en visite au Canada avec sa famille et ils avaient parcouru le Canada en train. C'était un peu de la propagante, mais le fait était là, les Britannique voulaient convaincre les Canadiens récalcitrant à cette guerre.
Lorsque tu présentes cela à des enfants, je vous certifie qu'ils ont les yeux tout ronds et leur cerveau bouillonne de questions.
Pour moi, c'est ça de l'histoire en collectionnant.
Et si je r'ajoute les timbres du Roi en 1942, cela vous donne ça :
Mes pièces de monnaies ressortent en couleur avec les timbres, et l'ajout du 5 reichspfennigs, et du timbre d'Adolf Hitler, fait en sorte que cette année-là vous donne une bonne idée ce qu'était le Canada en 1939.
Pour moi, c'est ça une collection. Dans mon dossier word, tout est expliqué pour chacune des années du 5 cents, et en jumelant des compléments, vous donnez du prestige à votre collection.
Je vois très bien un collectionneur de monnaie américaine compléter sa collection avec le billet du Chat si haut, car l'histoire du Cuba est aussi relié avec les États-Unis.
Oui, collectionner c'est intéressant, instructif et vraiment passionnant. Il suffit juste de penser pour donner de la vie à votre collection. J'aurais pu ajouter mes 8 variétés du 1939 sur cette photo, ce qui aurait complété mon année.
Collectionneurs du 5 cents Canadiens depuis 1975.
Collectionneurs de timbres sur la Monarchie Britannique depuis peu. (Roi et Reine seulement)
Collectionneurs de timbres sur la Monarchie Britannique depuis peu. (Roi et Reine seulement)
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Super, Le Chat! Bien content que tu entames ta présentation!
Pour avoir pu examiner cette collection, je peux vous dire que c'est du sérieux, tant par la symbolique forte de ces billets, bien ancrée dans l'histoire (révolution cubaine), que par leur qualité.
Car monsieur Le Chat ne se satisfait pas de trouver un billet: c'est l'incirculé, ou alors rien du tout!
Remarquez, ça m'aura permis de le débarasser de ces billets indésirables et ainsi enrichir ma propre collection.
Pour la question, je crois que Philippe_b se mérite un morceau de robot!
C'est important de ne pas perdre cette perspective historique de la numismatique, car elle est souvent essentielle à la "compréhension" d'un billet, d'une pièce.
Comme l'avait évoqué mysterious_dr_x dans le sujet que j'avais ouvert sur les manifestations en Égypte ( viewtopic.php?f=7&t=9440 ), l'argent est un support efficace pour transmettre un message, car il ne cesse de circuler d'une main à l'autre.
Juste 2 petites corrections à apporter à ta présentation, si j'ose me permettre:
Concernant la partie sur Marti: "Il débarqua sur l'île en 1895, et fut tué lors de sa première bataille contre les Espagnols, le 19 mai 1995".
On parle plutôt de 1895.
Et enfin:
Le Chat a écrit :Cet automne l’or d’une trop courte visite a des amies ( La Loutre) et sa conjointe[...]
Juste qu'en mettant "amies" au féminin, suivi de "et sa conjointe", certains pourraient penser que La Loutre est une lesbienne numismate...
Sans offense aux homosexuelles, numismates ou pas.
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Merci a vous tous pour vos réponses et commentaires et milles pardons à mon ami La Loutre pour ma faute de français .
Mais je ne crois malheureusement pas que Philippe_b est la réponse exacte.
Oui le 8 janvier 1959 Fidel était à la havane de même que le Che* et Camilo*.
Mais sur le billet de un peso.
Fidel sur le dessin (ok un morceau de robot) c’est le chef de la révolution.
Camilo à coté (ok un morceau de robot.) c’est un commandante.
Mais ou est le Che A titre de commandante il devrait se trouvé à coté de Fidel comme Camilo.
Alors pourquoi Camilo est au coté de Fidel et non le Che
Le Che sur le dessin (pas ok moins un morceau de robot)
*Fin 1958 début 1959 les deux commandantes portes des coiffes qui les distinguent soit le béret à étoile du Che et le chapeau de cowboy du Camilo.
Attention l’émission datte de 1961, que c’est il passé entre le premier janvier 1959 et 1961.
Deux indices, 26 octobre 1959 et 26 novembre 1959.
Bonne chance
Le chat.
PS Merci et bravo clownoses pour votre collection et explication.
Mais je ne crois malheureusement pas que Philippe_b est la réponse exacte.
Oui le 8 janvier 1959 Fidel était à la havane de même que le Che* et Camilo*.
Mais sur le billet de un peso.
Fidel sur le dessin (ok un morceau de robot) c’est le chef de la révolution.
Camilo à coté (ok un morceau de robot.) c’est un commandante.
Mais ou est le Che A titre de commandante il devrait se trouvé à coté de Fidel comme Camilo.
Alors pourquoi Camilo est au coté de Fidel et non le Che
Le Che sur le dessin (pas ok moins un morceau de robot)
*Fin 1958 début 1959 les deux commandantes portes des coiffes qui les distinguent soit le béret à étoile du Che et le chapeau de cowboy du Camilo.
Attention l’émission datte de 1961, que c’est il passé entre le premier janvier 1959 et 1961.
Deux indices, 26 octobre 1959 et 26 novembre 1959.
Bonne chance
Le chat.
PS Merci et bravo clownoses pour votre collection et explication.
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
J'avais accordé le morceau de robot à Philippe_b car, bien qu'il avait répondu 3 noms, 2 d'entre eux étaient exacts, ce qui je croyais répondait à la question lancée:
Je vois que, de la même manière que Le Chat ne se satisfait pas de billets circulés, il ne se satisfait pas non plus de demi-réponses!
Le Chat a écrit :Qui de vous peut me nommé deux personnes qui apparaisse a l’endos de ce billet?.
Je vois que, de la même manière que Le Chat ne se satisfait pas de billets circulés, il ne se satisfait pas non plus de demi-réponses!
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Bonsoir
Je vais prendre un moment pour poursuivre notre historique avec les pesos cubains.
Dans un premier temps voici la réponse pour le un pesos 1961.
Qui de vous peut me nommé deux personnes qui apparaisse a l’endos de ce billet?.
Voici une photo de l'événement qui a peut être inspiré le dessinateur.
Voici le dessin.
Réponce Fidel et Camilo.
Fidel bien sur c'est le Leader Maximo.
Pourquoi Camilo sur le dessin?
Cest un grand Comandante et il est décédé (disparu en mer) le 26 octobre 1959.
Pourquoi pas le Che?
Comme le Che est président de la banque Centrale depuis novembre 1959 il était difficile pour lui de ce placé en évidence sur les billets cubains de 1961.
Maintenant
Je vous présente en photo le 5.
et le 10 pesos.
Plus tard je vous en ferais la description historique.
A plus .
Le chat.
Je vais prendre un moment pour poursuivre notre historique avec les pesos cubains.
Dans un premier temps voici la réponse pour le un pesos 1961.
Qui de vous peut me nommé deux personnes qui apparaisse a l’endos de ce billet?.
Voici une photo de l'événement qui a peut être inspiré le dessinateur.
Voici le dessin.
Réponce Fidel et Camilo.
Fidel bien sur c'est le Leader Maximo.
Pourquoi Camilo sur le dessin?
Cest un grand Comandante et il est décédé (disparu en mer) le 26 octobre 1959.
Pourquoi pas le Che?
Comme le Che est président de la banque Centrale depuis novembre 1959 il était difficile pour lui de ce placé en évidence sur les billets cubains de 1961.
Maintenant
Je vous présente en photo le 5.
et le 10 pesos.
Plus tard je vous en ferais la description historique.
A plus .
Le chat.
- drooperdolan
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Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
wow j'avais hate de connaitre la suite
j'ai encore hate de connaitre la suite
tres intéressant
merci LE Chat du partage historique
Vive ce que la vie nous a fait vivre malgré tout ce qu'on a vécu
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Dire que j'étais à la havane la 8 janvier 2009!
J'ai vu le défiler et la reconstitution de cette evenement et j'ai vu un des fils à fidel castro!
J'ai vu le défiler et la reconstitution de cette evenement et j'ai vu un des fils à fidel castro!
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Bon jeudi.
Je n'aurais jamais penssé que j'aurais autent de recherche a faire pour cette rubrique.
Merci a internet* et bonne lecture a vous.
Le 5 pesos
Antonio Maceo
Antonio Maceo Y Grajales (1845-1896) est un combattant et héros de la lutte pour l'indépendance de Cuba. Surnommé le Titan de bronze pour sa force et sa couleur de peau, il participe à plus de 900 combats dans la guerre des Dix Ans (1868-1878) et la guerre d'indépendance (1895-1898).
Lorsque le président Céspedes trouve la mort à la bataille de San Lorenzo en 1874, Antonio Maceo lui succède à la tête des rebelles. Une partie des rebelles renonce à la lutte par le traité de Zanjón, conclu le 10 février 1878, à l'initiative du général espagnol Arsenio Martinez Campos. Quant au général Antonio Maceo, il refuse le pacte de Zanjón qui n'accorde à l'île qu'une autonomie relative et qui, de plus, maintient l'esclavage. Il ne voulait pas de paix sans indépendance, ni sans l’abolition de l’esclavage.
Protagoniste de la "Protestation de Baragua" (15 mars 1878), il est le symbole de la fermeté et du courage face au pouvoir colonial. Antonio Maceo marque ainsi la place accordée aux « gens de couleur » dans le processus indépendantiste. Plus encore, le Titan de Bronze est érigé en symbole du métissage et de la réconciliation raciale.
Il tombe au combat près de La Havane le 7 décembre 1896.
L'aéroport international de Santiago de Cuba porte son nom
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Maceo
Septiembre-Octubre de 1958 invasion
Juillet 1958, La guérilla cubaine met un terme à l’opération des troupes gouvernementales qui visait à reprendre le contrôle de la sierra Maestra. Fidel reprend l’initiative des opérations et ordonne de nouvelles action visant l’invasion d’oriente a ocidente. C’est l’opération Invasion, en l’honneur du général Antonio Maceo et de la victoire sur la Havane de la guerre d’indépendance de Cuba contre l’Espagne en 1895.
http://www.vacances-sejour.ch/cuba/invasion.html
Le 10 Pesos
Máximo Gómez
Né en 1836 à Bani, petite ville de la République dominicaine, Máximo Gómez y Báez, devient le général en chef de l’armée de libération cubaine et le symbole de la solidarité entre les peuples antillais.
C’est en tant que commandant dans l’armée espagnole qu’en 1865 il est envoyé à Cuba, où il découvre notamment la situation des esclaves. La cruauté et l’injustice avec lesquelles ils sont traités le révoltent et le transforment profondément. Il se joint dès le soulèvement de Yara, en octobre 1868, aux insurgés qui à la suite de Carlos Manuel de Cespedes se battent pour l’indépendance de Cuba. Cette première guerre dure dix ans et se termine en 1878 par la défaite des insurgés, scellée par le Pacte de Zanjón. Les Espagnols y promettent des réformes, dont plus d’autonomie pour l’île, qui restent pour la plupart lettre morte.
Máximo Gómez doit abandonner Cuba. Il s’exile en Jamaïque, au Honduras puis au Panama, avant de revenir en République dominicaine. Le Cubain José Martí, poète et écrivain engagé, infatigable chantre de l’indépendance cubaine l’y rejoint en 1892. Il le convainc de reprendre les armes. Ensemble, ils rédigent le Manifeste de Montecristi, du nom d’une ville dominicaine à la frontière avec Haïti.
José Martí et Máximo Gómez, ce dernier alors âgé de 60 ans, général en chef de l’armée de libération, débarquent sur les côtes cubaines en avril 1895 pour relancer la guerre d’indépendance. Martí est tué à la bataille de Dos Rios un mois plus tard. Avec Antonio Maceo, Máximo Gómez planifie et conduit victorieusement l’avancée militaire des forces indépendantistes de la région d’Oriente à celle d’Occidente (batailles de Mal Tiempo, Coliseo), maintenant en échec les troupes espagnoles pendant trois ans.
Cependant, l’intervention des États-Unis, qui établissent un gouvernement militaire d’occupation en 1898, frustre Gómez et le peuple cubain de leurs idéaux d’indépendance et de justice. Quand, en 1902, Cuba obtient enfin son indépendance, Gómez refuse la présidence. Il s’éteint en 1905 à La Havane
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A1ximo_G%C3%B3mez
2 septembre Déclaration de La Havane de 1960
(Dénonçant l'impérialisme et le colonialisme)
Citation de Fidel a la Première Déclaration de La Havane 2 septembre 1960
« La démocratie n’existera en Amérique latine que le jour où les peuples seront réellement libres de choisir, le jour où les humbles ne seront pas réduits à la plus abominable impuissance par la faim, l’inégalité sociale, l’analphabétisme et le système juridique d’oppression”
Aussi.
La déclaration de La Havane, qui venait d’être approuvée par plus d’un million de cubains réunis dans la capitale du pays, le 2 septembre de cette même année, condamnait l’exploitation de l’homme par l’homme et l’exploitation des pays sous-développés par le capital financier impérialiste.
L’une des phrases de ce discours montre l’essence même des idées exprimées ce jour-là par Fidel Castro, et garde encore, pour les temps futurs, tout son sens : « Que disparaisse la philosophie du pillage, et la philosophie de la guerre aura disparue ».
* Noter que les articles qui sont joints, ont été emprunté à divers endroits sur le web.
La semaine prochaine le 20 pesos.
Le chat.
Je n'aurais jamais penssé que j'aurais autent de recherche a faire pour cette rubrique.
Merci a internet* et bonne lecture a vous.
Le 5 pesos
Antonio Maceo
Antonio Maceo Y Grajales (1845-1896) est un combattant et héros de la lutte pour l'indépendance de Cuba. Surnommé le Titan de bronze pour sa force et sa couleur de peau, il participe à plus de 900 combats dans la guerre des Dix Ans (1868-1878) et la guerre d'indépendance (1895-1898).
Lorsque le président Céspedes trouve la mort à la bataille de San Lorenzo en 1874, Antonio Maceo lui succède à la tête des rebelles. Une partie des rebelles renonce à la lutte par le traité de Zanjón, conclu le 10 février 1878, à l'initiative du général espagnol Arsenio Martinez Campos. Quant au général Antonio Maceo, il refuse le pacte de Zanjón qui n'accorde à l'île qu'une autonomie relative et qui, de plus, maintient l'esclavage. Il ne voulait pas de paix sans indépendance, ni sans l’abolition de l’esclavage.
Protagoniste de la "Protestation de Baragua" (15 mars 1878), il est le symbole de la fermeté et du courage face au pouvoir colonial. Antonio Maceo marque ainsi la place accordée aux « gens de couleur » dans le processus indépendantiste. Plus encore, le Titan de Bronze est érigé en symbole du métissage et de la réconciliation raciale.
Il tombe au combat près de La Havane le 7 décembre 1896.
L'aéroport international de Santiago de Cuba porte son nom
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Maceo
Septiembre-Octubre de 1958 invasion
Juillet 1958, La guérilla cubaine met un terme à l’opération des troupes gouvernementales qui visait à reprendre le contrôle de la sierra Maestra. Fidel reprend l’initiative des opérations et ordonne de nouvelles action visant l’invasion d’oriente a ocidente. C’est l’opération Invasion, en l’honneur du général Antonio Maceo et de la victoire sur la Havane de la guerre d’indépendance de Cuba contre l’Espagne en 1895.
http://www.vacances-sejour.ch/cuba/invasion.html
Le 10 Pesos
Máximo Gómez
Né en 1836 à Bani, petite ville de la République dominicaine, Máximo Gómez y Báez, devient le général en chef de l’armée de libération cubaine et le symbole de la solidarité entre les peuples antillais.
C’est en tant que commandant dans l’armée espagnole qu’en 1865 il est envoyé à Cuba, où il découvre notamment la situation des esclaves. La cruauté et l’injustice avec lesquelles ils sont traités le révoltent et le transforment profondément. Il se joint dès le soulèvement de Yara, en octobre 1868, aux insurgés qui à la suite de Carlos Manuel de Cespedes se battent pour l’indépendance de Cuba. Cette première guerre dure dix ans et se termine en 1878 par la défaite des insurgés, scellée par le Pacte de Zanjón. Les Espagnols y promettent des réformes, dont plus d’autonomie pour l’île, qui restent pour la plupart lettre morte.
Máximo Gómez doit abandonner Cuba. Il s’exile en Jamaïque, au Honduras puis au Panama, avant de revenir en République dominicaine. Le Cubain José Martí, poète et écrivain engagé, infatigable chantre de l’indépendance cubaine l’y rejoint en 1892. Il le convainc de reprendre les armes. Ensemble, ils rédigent le Manifeste de Montecristi, du nom d’une ville dominicaine à la frontière avec Haïti.
José Martí et Máximo Gómez, ce dernier alors âgé de 60 ans, général en chef de l’armée de libération, débarquent sur les côtes cubaines en avril 1895 pour relancer la guerre d’indépendance. Martí est tué à la bataille de Dos Rios un mois plus tard. Avec Antonio Maceo, Máximo Gómez planifie et conduit victorieusement l’avancée militaire des forces indépendantistes de la région d’Oriente à celle d’Occidente (batailles de Mal Tiempo, Coliseo), maintenant en échec les troupes espagnoles pendant trois ans.
Cependant, l’intervention des États-Unis, qui établissent un gouvernement militaire d’occupation en 1898, frustre Gómez et le peuple cubain de leurs idéaux d’indépendance et de justice. Quand, en 1902, Cuba obtient enfin son indépendance, Gómez refuse la présidence. Il s’éteint en 1905 à La Havane
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A1ximo_G%C3%B3mez
2 septembre Déclaration de La Havane de 1960
(Dénonçant l'impérialisme et le colonialisme)
Citation de Fidel a la Première Déclaration de La Havane 2 septembre 1960
« La démocratie n’existera en Amérique latine que le jour où les peuples seront réellement libres de choisir, le jour où les humbles ne seront pas réduits à la plus abominable impuissance par la faim, l’inégalité sociale, l’analphabétisme et le système juridique d’oppression”
Aussi.
La déclaration de La Havane, qui venait d’être approuvée par plus d’un million de cubains réunis dans la capitale du pays, le 2 septembre de cette même année, condamnait l’exploitation de l’homme par l’homme et l’exploitation des pays sous-développés par le capital financier impérialiste.
L’une des phrases de ce discours montre l’essence même des idées exprimées ce jour-là par Fidel Castro, et garde encore, pour les temps futurs, tout son sens : « Que disparaisse la philosophie du pillage, et la philosophie de la guerre aura disparue ».
* Noter que les articles qui sont joints, ont été emprunté à divers endroits sur le web.
La semaine prochaine le 20 pesos.
Le chat.
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Bon dimanche.
Si vous faite partie des membres qui aimer apprendre l'histoire en général et aussi de Cuba.
Je vous suggère la presse de Samedi le 23 octobre le cahier " Plus forum".
Le Web attaque.
La blogosphère est-elle en train de fissurer le régime cubain.
Voici un segment d'un article de Judith Lachapelle (journaliste a la presse) dan le cahier de Samedi.
Attendez je vais vous raconter une blague cubaine.
«C'est l'histoire d'un fonctionnaire de l'ONU qui fait une enquête sur la pénurie
de noutriture. Il se rend d'abord a Londre pour rencontrer un milliardaire.
"Quel est votre avis sur la pénurie de nourruture?"demande-t-il.
"Pénurie? répond le milliardaire. Je ne sais pas ce qu'est une pénurie."
Le foncionaire se rend ensuite en Afrique. "Quel est votre avis sur la pénurie de nourriture?"
La pénurie je sais ce que c'est, dit l'Africain. Mais la nourriture, je ne sais pas.
A Cuba le foncionaire demande."Quel est votre avis sur la pénurie de nourriture?" Le Cubain écarquille les yeux: "Un avis ? C'est quoi un avis? ..
Il peut être intéressant parfoi d'étudié et de mettre en perspective les révolution et les idéo des années passé et ce qui en est devenu aujourd’hui.
Le Chat.
Si vous faite partie des membres qui aimer apprendre l'histoire en général et aussi de Cuba.
Je vous suggère la presse de Samedi le 23 octobre le cahier " Plus forum".
Le Web attaque.
La blogosphère est-elle en train de fissurer le régime cubain.
Voici un segment d'un article de Judith Lachapelle (journaliste a la presse) dan le cahier de Samedi.
Attendez je vais vous raconter une blague cubaine.
«C'est l'histoire d'un fonctionnaire de l'ONU qui fait une enquête sur la pénurie
de noutriture. Il se rend d'abord a Londre pour rencontrer un milliardaire.
"Quel est votre avis sur la pénurie de nourruture?"demande-t-il.
"Pénurie? répond le milliardaire. Je ne sais pas ce qu'est une pénurie."
Le foncionaire se rend ensuite en Afrique. "Quel est votre avis sur la pénurie de nourriture?"
La pénurie je sais ce que c'est, dit l'Africain. Mais la nourriture, je ne sais pas.
A Cuba le foncionaire demande."Quel est votre avis sur la pénurie de nourriture?" Le Cubain écarquille les yeux: "Un avis ? C'est quoi un avis? ..
Il peut être intéressant parfoi d'étudié et de mettre en perspective les révolution et les idéo des années passé et ce qui en est devenu aujourd’hui.
Le Chat.
Re: La monnaie c’est aussi l’histoire.
Bonjour Le Chat,
Le moins que je puisse dire c'est que tu te surpasses
Bravo pour cette blague cubaine : elle éclaire cette journée d'automne, plutôt grise
Le moins que je puisse dire c'est que tu te surpasses
Bravo pour cette blague cubaine : elle éclaire cette journée d'automne, plutôt grise
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