castor a écrit :La ligne est AVANT et APRES l'installation du coin , d'apres moi .
Toute la question est LÀ .
Quand je parle de fondamental c'est exactement de ca que je parle. La première ligne qui doit être tracé c'est justement sur ce fait, basé sur
l'origine de la différence (soit pré-production ou post-production) car dans ces cas on parle de choses totalement différentes. Par la suite il peut y avoir des catégories supplémentaires qui permettent des différencier les différents
résultats possibles (j'aime bien les termes de jumpy :ponctuelle et séquentielle). Ce qui pourrait donner à mes yeux:
Les deux grandes classes de pieces, basé sur l'origine de la différence, La
variété (origine pre-production) et
l'erreur ( origine post-production)
Deux classes d'erreurs :
l'erreur ponctuelle (unique), et
l'erreur séquentielle (répétée)
Je crois que c'est une erreur que de vouloir baser une nomenclature sur des résultats plutot que sur des causes. Par exemple les animaux. Ce serait une erreur de vouloir baser leur nomenclature selon, par exemple, leur couleur (les bruns ensemble, les blancs ensemble) ou bien selon leur mode de vie (aquatique, terrestres...) On retrouverait les baleines avec les poissons etc.. Il y a quelque chose de plus fondamental qui différentie une baleine d'un poisson et l'origine est génétique. En génétique on parle de génotype (le code génétique, donc l'origine) et le phénotype (la manière dont s'exprime le code génétique, donc le résultat) Donc il faut commencer par distinguer les baleine des poissons, ensuite on peut séparer les différent poisson selon des critères secondaires comme leur couleur ou leur habitat, etc..
Si je reviens donc à la numismatique, le même raisonnement devrait s'appliquer. Selon moi en tentant de définir ce qu'est une erreur il ne faut pas tout mélanger et la mettre dans la meme classe qu'une variété, simplement parcequ'elle peut se reproduire a répétition. On confond allors la cause avec l'expression du résultat...de la meme maniere qu'une baleine ne devient pas un poisson simplement parce'elle vit dans l'eau.
En relisant la majorité des intervention les mieux argumentées, je sens qu'il y a peu de contradiction et de grogne à placer les variétés pré-production dans une classe à part. Les différents d'opinion viennent surtout du coté de la nomenclature des erreurs ou on sent qu'il y a plus d'une catégorie possible. Je crois donc que les discussions devrait plutot être portées de ce coté. En ayant toujour en tête que la cause, l'origine, est normalement toujours un meilleur critère de classification que l'expresion du résultat. Dans cet ordre d'idée il y avait eu, dans les pages précédentes de ce sujet, des tentatives de classement selon les différentes causes...c'est selon moi de ce coté qu'il faudrait poursuivre le travail afin de continuer a mettre de l'ordre dans la question des erreurs et variétés.