Bonjour,
Ce matin (dimanche le 28 avril), il y a un article « hallucinant » dans La Presse+
Un homme de 76 ans est mort. Après sa mort, sa veuve découvre plusieurs billets de banque pour une valeur faciale de 200 000$. Il y a des billets qui datent des années 1940 ainsi que des billets de 1 000$.
L’homme n’avait pas de compte bancaire et pour une raison quelconque, on pense que l’argent accumulé proviendrait du travail au noir.
Comme c’est dans la section Économie de La Presse+, le journaliste monte un scénario digne d’un roman policier où le collectionneur aurait sans doute (selon le journaliste) éludé des montants d’argent sans payer des impôts.
Donc, pour régulariser la situation, le journaliste recommande l’aide de fiscaliste (dans la chronique fiscale … tout un hasard
), d’un avocat ou d’un notaire.
De plus, il recommande l’évaluation des billets par un spécialiste. Je connais les entreprises de certification et les guides des valeurs des billets, mais les spécialistes de l’évaluation
Le marchand peut mettre une valeur selon son expérience, mais si les billets ne sont pas certifiés, ça peut être n’importe quoi. De plus, même avec un guide, il est possible d’être dans le champ si la demande présente n’est pas là. On a aussi vu des exemples où un « spécialiste » des erreurs donne une valeur extraordinairement élevée.
Pour ma part, j’ai eu un salaire sur lequel les gouvernements ont prélevé des impôts. Avec l’argent restant (une petite partie), j’ai acheté des pièces de monnaie sur lesquelles j’ai payé des taxes de vente. Lorsque je vais mourrir, est-ce que ma succession va devoir prouver la provenance des pièces et faire certifier toutes mes pièces qui ne sont pas certifiées
Ouf, tout un dimanche matin
Salutations